Collection Homme Femme. Histoire D’Une Vie (1/2)

Le texte que je vais écrire m’a été suggéré par Jean-Jacques, c’est l’histoire de cet homme et de sa femme Jeanne, bien sûr, j’ai changé leurs noms.
J’ai respecté les premières lettes de leur nom, eux c’est JJ et J.
Pardon honneur aux dames, J et JJ.

JJ, c’est ainsi qu’il souhaite que je l’appelle, rencontre Jeanne dans les années 60.
À 20 ans, il fait son service militaire après avoir fini des études de mécanique.
Son rêve qui va bien vite devenir le rêve de Jeanne était d’ouvrir un garage pour voiture de marque Citroën.
Cette marque était celle d’un voisin de ses parents qui un jour lui a fait voir son moteur.
Certains ont le coup de foudre pour une jolie femme, lui ce fut le moteur d’une voiture pour lui.
Une jolie femme, ce sera plus tard avec sa rencontre un soir de fête le 14 Juillet au bal des pompiers, bien sûr, nous verrons c’était Jeanne.
Son service militaire, c’est dans la marine qui l’a fait, mais à l’arsenal de Lorient après avoir fait ses classes.
Lui qui rêvait de grandes sorties en mer a été contraint de voir partir les bateaux sans lui.
C’est au port de Lorient loin de la ville qu’il a perdu son pucelage dès le premier soir où il était arrivé de Paris.
En ce temps-là, car JJ quand il me donne les renseignements sur la vie de son couple à qui l’on donnait le bon dieu sans confession, a 68 ans sa femme aussi.
En ce temps-là, donc, la tradition voulait que les vieux quartiers maîtres chefs sortent le mousse et lui paye sa pute.
Ils avaient le nez pour reconnaître les puceaux, c’était donc le cas de JJ.
La vieille matrone, alors qu’il a su plus tard qu’elle était la femme d’un marin mort en mer se prostituant pour vivre.
Elle l’a monté dans une chambre au-dessus du bar où elle tapinait sans qu’il se rende compte qu’il baisait une femme de l’âge de sa mère.
Qu’importe, de retour à la base où il était affecté au nettoyage des pistons des bateaux venus en carénage, il gonflait ses muscles qui étaient pourtant inexistants.


Ça vieille pute, il a réussi à la baiser trois fois pendant tous ces mois, car en ce temps-là la solde était de 20 francs par mois.
JJ se souvenait de ces 20 francs, la solde l’avait marqué, mais pas combien lui coutait, la grosse Bretonne qui par chance avait une petite coiffe pas ce gros cylindre que Lavanant portait dans le film les galettes de Pont-Aven.
Ce film, il devait le voir plus tard, mais l’image de Lavanant pute Bretonne lui avait beaucoup plus.
Ça lui rappelait ce moment divin ou en quelques secondes, après avoir pénétré Armel, d’un coup son nom lui revenant, il éclatait en gerbes de plaisirs.

Après son service, de retour chez ses parents en région parisienne, il est entré dans un garage jusqu’à ses 22 ans.
Pendant l’intervalle, ce sont encore des putes qu’il rejoignait en métro à Pigalle dont Jiji, qui lui a appris la patience et d’arrêter de faire le chien fou.
Il montait avec Jiji chaque fois que les pourboires qu’il avait gagnés étaient suffisants pour se la payer.
Contrairement à Armel, certes, elle avait de gros seins, mais un gros cul.
Jiji elle aussi de gros seins, mais un petit cul.
22 ans, soir de fête et de bal.
Jeanne, jeune fille timide venue avec son frère petit cul et petits seins.
Mariage, le couple était très inexpérimenté dans les jeux sexuels.
JJ ayant simplement vu un petit film porno en 8 mm dans la chambrer à la base lorientaise où une pute là encore recevait la bite d’un homme comme lui avait fait avec Armel et Jiji.
Le film et le projecteur appartenant à ce vieux quartier maître chef qui lui avait eu la chance de faire deux tours du monde.
Il racontait ses escales dont Panama ou il avait acheté ce projo et ce film.
Mais JJ s’était rapidement aperçu qu’à part les bars et les putes des ports, c’était tout ce qu’il avait vu de ces pays.
Quel con.

Mariage, rien pendant leurs fiançailles, dépucelage, la lenteur que Jiji lui avait inculquées devait permettre à Jeanne de jouir dès le deuxième soir.

Jusqu’à il y a 2 ans, Jeanne était réceptive de ses envies, mais toujours dans leur lit et dans le noir en écartant simplement ses cuisses.
Ils avaient eu trois s et Jeanne petit cul et petit sein a rejoint Armel dans la catégorie des femmes à gros seins et gros culs.
Le couple tenait malgré de gros conflits par moments, car elle satisfaisait JJ qui était très demandeur.
JJ voulait avoir un garage, il en a eu un, mais petit dans une impasse.
Il acceptait toutes les marques pour pouvoir faire vivre sa famille.
Bref à 62 ans, il a mis la clef sous la porte touchant une misère de retraite malgré les heures passées à trimer.
Arthrose pour elle et lui avec obligation de mettre une prothèse au genou droit pour elle, car elle avait tellement mal que la nuit elle hurlait.
JJ avait respecté sa femme avant et après, écarté ses cuisses étant devenu un calvaire.
Il allait souvent dans son garage où le bruit du marteau résonnait encore lorsque l’un de ses s lui confiait la vidange ou le défroissage d’une aile de l’une de ces mécaniques que JJ savait réparer.
Le marteau et autres outils, il s’en sert quand il remet en état une vielle 2 chevaux qu’il a complètement désossés et qu’il rénove pour son petit-fils.
Il a du temps, Jules a 4 ans.
Dans son garage, il a l’ordi qu’il avait été obligé d’acheter pour se moderniser espérant qu’un repreneur se fasse connaître.
Hélas, les garages de la grande avenue véritable usine à vendre et réparer avaient sonné la mort de ce petit garage qui plus ait dans une impasse.
C’est là qu’il se masturbait remplaçant le gros cul et la petite chatte de sa femme par de fréquentes veuves poignées.
Par chance, le bureau devenu son chez lui avait des marches pour y descendre et Jeanne, depuis ces années, restait dans l’autre partie de la maison.
Il le vivait mal, car pour lui à 68 ans, le sexe était encore possible dans un couple
Il avait l’expérience de ses grands-parents dans sa jeunesse alors qu’il faisait sa sieste il les avait entendu faire l’amour ou elle hurlait son plaisir.

Ils venaient d’avoir 88 ans, pour lui elle était en train de lui voler 20 ans de sa vie sexuelle.
Certes, il y avait les putes, mieux cachées que de son temps, mais dans ce monde, tant qu’il y aura des hommes et des femmes, certaines seront vouées à écarter leurs cuisses.
Ce qui le retenait outre ce que ça coûtait, c’était son âge.
Il se voyait mal avoir une panne ce qu’il avait évité toute sa vie.
Il était donc devenu expert en films pornos sur son ordinateur.
Par la pensée, il savait tout faire à une femme avec le remords d’avoir laissé la sienne dans l’ignorance par sa propre ignorance.

Jeanne a été hospitalisée pour des problèmes de reins.
Il a cru la perdre, mais elle s’est remise, les médecins la gardant en observation.
À quelques heures de sortir, la voir dans sa chemise de nuit l’a excité.
Il est venu à sa hauteur et a passé sa main dessous.

• Es-tu devenu malade Jean-Jacques, que fais-tu ?
• J’en ai mare que tu te sois servi de cette opération pour me fermer ta chatte définitivement.
• Tu crois que nous allons faire l’amour dans cette chambre d’hôpital, tu as perdu la tête pauvre malade.
• Suce.

JJ en même temps qu’il faisait entrer ses doigts dans la chatte sèche de Jeanne, a sorti sa queue qu’il a avancée vers ses lèvres.

• Suce, je te dis, il y a 45 ans que j’aurais dû te la mettre dans la bouche.
• Malade, je savais que tu étais un obsédé.

C’est avec sa main libre qu’il a saisi la nuque de sa femme et qu’il a avec sa verge tendue comme jamais les lèvres de son épouse.
Elle les serait, elle a dû respirer, il est entré au risque de se faire émasculer.

• Prends ta main et masturbe-moi, pense aussi à mes couilles.
Oui, c’est bien, maintenant laisse là sortir et lèche là, oui comme ça.
Tu vois c’est facile pour une fois de satisfaire son homme sans écarté tes cuisses.

Sous ses doigts, il a senti la chatte de sa femme s’humidifier, la salope elle réagissait positivement.

Pourquoi avoir attendu si longtemps, on est con par respect ?
Le plateau de son repas était à portée de sa main.
Elle avait commencé le yaourt en laissant une partie.
La folie la prit.
Il a trempé ses doigts et les a replantés dans la chatte de Jeanne.
Elle le suçait et a d’elle-même écarté ses cuisses, ce qui a remonté sa chemise découvrant sa chatte.
Ses doigts ont repris leur place avec la douceur du yaourt.
C’est à ce moment que la porte de la chambre s’est ouverte.
Judith, la jeune infirmière de service est entrée, avec son thermomètre en main.

• Pardon.

Elle a refermé vite fait, mais ça avait boosté l’explosion de mon plaisir.
JJ a juste eux le temps de sortir sa verge giclant sur les seins de Jeanne qui en même temps a eu un orgasme.

• Pauvre con, j’en ai partout.
• Je te paye la chambre seule grâce à ma mutuelle, va as la douche.
Reconnaît que tu as aimé.

Jeanne sans le savoir venait de renouer avec le sexe d’une façon bien plus bandante bien plus épanouissante que les 45 passées auprès de JJ...

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